L’un est un peu virtuose de la guitare mais est surtout naïf et candide. L’autre, doué pour la contrebassine, est d’une mauvaise foi cruelle et assumée. C’est un voyage dans leur folie qu’ils promettent dans ce « concert » déglingué et délirant.
Solo burlesque et acrobatique qui met en scène un personnage touchant et attachant “CorVest”. Contrairement à Buster Keaton, « l’homme qui ne rit jamais », celui-ci sourit de sa maladresse mais aborde ce qui le dépasse avec le même flegme. La...